Quand mon anniversaire arrive, j’aime prendre un jour de vacances. Cette journée n’a pas fait exception. Je pense que j’ai commence cet habitude quand j’etait petit. Ce n’etait pas une bonne idee d’aller a l’ecole le premier avril pur souffrit les farces et attrapes d’une posisson avril. C’etait beaucoup mieux de persuader un copain de prendre un petit vacance d’exploration. Pour une raison inexplicable, pendant plus de cinquante ans, il fait toujours beau pendant mon anniversaire, c’est un jour très spécial consacré à l’aventure, à la nouveauté. Ce jour-là, mon compagnon était bien sûr, Rafa. Et Rafa n’avait pas besoin de beaucoup de persuasion de partir pour une expédition. Nous avons décidé de faire un tout nouvel iterinarire: de monter la piste noire et puis descendre la rouge.
Avant d’entamer la montée, je me suis arrêté pour prendre une photo des petites fleurs alpines et Rafa en a rapidement profité pour faire un photobomb, c’est-à-dire qu’il a gâché ma photo.
La neige avait duré sur la moitié supérieure de la piste, mais il avait fondu sur la moitie inférieure, Rafa et moi avons pu monter directement sur la montagne.
La montée était surprisement facile. Rafa m’a tiré un peu et après moins de dix minutes nous avons gagné la neige. Malgre la pente, j’ai pu obtenir une bonne prise en enfonçant mes bottes dans la neige, en brisant la fine croûte de glace, puis en mettant mon poids sur la neige en dessous.
Les 20 derniers mètres étaient plus difficiles, j’ai donc adopté l’approche de Rafa en grimpant à quatre pattes et nous étions bientôt au sommet, un peu essoufflés.
Nous nous sommes arrêtés un moment pour admirer la vue de l’autre côté du col.
Très bien, la montée de la piste noire a été accomplie, amenez la descente de la piste rouge. Lors des excursions précédentes, nous avons pris le côté gauche ou le milieu, mais cette fois-ci, nous prendrons le côté droit où la neige est la plus profonde. Il y a aussi quelques arbustes et plus d’ombre, de sorte que la neige est couchée presque jusqu’au pied de la piste.
Rafa est maintenant un chien obéissant. Il descend la montagne sans laisse, mais ne s’éloigne pas de plus de 50 mètres de moi, et revient immédiatement lorsqu’on l’appelle. Je lui fais confiance pour se promener librement dans les montagnes car il est audacieux, courageux et féroce et peut repousser n’importe quel ours, sanglier ou chèvre démente. Je tiens à préciser que nous n’avons pas encore rencontré d’animaux sauvages, mais je pense que Rafa est capable de se débrouiller dans les montagnes. Cependant, je le remets en laisse lorsque nous approchons de la route, car il est moins apte à affronter les Jeep Gladiator, Toyota HiLux et Nissan Navaras.